Le Blanc de A à Z... Un vagabondage dans le vaste temps et l’espace restreint d’une petite cité, au gré de l’alphabet et des humeurs, avec de nombreux coups de cœur et quelques coups de gueule. C’est que la ville au nom virginal a vu naître ou mourir des saints - Dieu soit loué - mais aussi quelques fieffés coquins, et cela, qui l’eût cru ? Et puis, il y a le site. La cascade de grands toits roux dévalant la colline jusqu’aux rives de la Creuse séduit au premier coup d’œil. Sans plus, car la ville ne comporte aucun de ces prestigieux monuments qui retiennent durablement l’attention. Mais ne vous en laissez pas conter ! Empruntez les escaliers d’une ruette escarpée de Ville haute, égarez-vous dans quelque carouër oublié, poussez une porte et vous découvrirez maints petits trésors qui font le charme du lieu. Alors oui, il se pourrait bien que Le Blanc soit, comme on l’a dit, « la plus jolie ville de l’Indre ». Suivez le guide !
Patrick Grosjean est professeur de philosophie au lycée du Blanc depuis plus d’un quart de siècle. Il est également passionné d’archéologie et d’architecture, d’où plusieurs monographies et des articles parus dans divers périodiques, notamment la Revue des Amis du Blanc et de sa région.