Au Pauvre Diable, Les Magasins Modernes, Oudebert, Houdart… Toutes ces enseignes aujourd'hui disparues font partie de la mémoire collective dijonnaise. Quelques autres, les plus rares, ont traversé les décennies et sont encore en activité, souvent à la périphérie de la ville.
De l'arrivée du chemin de fer à nos jours, des cartes postales anciennes, des factures, des publicités sont l'occasion d'évoquer ces activités qui sont le reflet de la vie quotidienne de nos jeunes années, de nos parents et grands-parents.